Ruaudin, vice présidence perdue au conseil communautaire!
Jeudi 14 juin, les élus de l'opposition ont assisté à l'élection du président de Le Mans Métropole ainsi qu'à celle des vice- présidents.
Pour la présidence , deux candidats se présentaient:
- Stéphane Le Foll et Samuel Chevallier
C'est avec une très large majorité que Monsieur Le Foll a été élu (45 voix contre 15).
Par un vote à bulletin secret , les vice-présidences ont ensuite été attribuées. Sur les 15 élus sous la présidence de Jean - Claude Boulard, 14 se sont vus reconduits dans leur poste.
Seul, Samuel Chevallier a perdu sa vice - présidence de délégué à l'économie sociale et solidaire, désormais confiée à Monsieur Giles Josselin, Maire de Rouillon, sans étiquette politique.
Ruaudin perd donc sa représentation au sein de l'équipe dirigeante de Le Mans Métropole.
Mais cela est-il si surprenant?
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En effet, dès 2016, nous évoquions dans un article, concernant le conseil du 30 juin, le retard d'une heure de nos représentants , qui leur avait fait manquer le vote sur les points concernant Ruaudin et la défense des dossiers concernés:
(voir article ici)
Puis, nous nous étonnions en avril 2017, que Monsieur le Maire défende les intérêts de notre commune sur la Charte de L'éco quartier du Grand Plessis en seulement quelques secondes, n'hésitant pas à incriminer M.Boulard:
Bien sûr, Monsieur Boulard ne pouvait que réagir aux allégations fausses de Monsieur Le maire.
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Il nous semblait que l'investissement de Monsieur Chevallier pourrait apparaître à tous comme réduit au minimum :
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Aujourd'hui, "En avant Ruaudin" s'interroge sur cette perte de représentation:
- Serait- elle la juste sanction au peu d'investissement manifesté par Monsieur le Maire pour la défense de la commune, ou sur une capacité non reconnue à s'investir dans la tache qui lui était confiée: Economie Sociale et solidaire ????
Maintenant, souhaitons seulement que les dirigeants de Le Mans Métropole ne nous oublient pas bien que notre représentant semble n'avoir su ni s'imposer, ni faire reconnaître ses compétences dans les domaines qui lui avaient été confiés.
Dans ce cas là , nous ne pourrions que le rendre responsable des conséquences négatives retombant sur la commune.